En France, plus de 45 % des mariages finissent par un divorce. Malencontreusement, décider une rupture de contrat de mariage ne s’effectue toujours pas à l’amiable. Pour que cela ne soit pas seulement le début de pénibles et longues tracasseries, un divorce par consentement mutuel reste la meilleure option. Moins coûteuse et plus rapide, cette procédure offre la possibilité d’aborder cette phase difficile plus sereinement.
Le divorce à l’amiable : l’option la plus rapide et la moins chère
Plus de 80 % des personnes qui ont choisi de divorcer par consentement mutuel s’en disent satisfaites. Ceci s’explique par les divers avantages que prodigue cette option pour les deux conjoints, notamment la rapidité de la procédure et la réduction des coûts.
Grâce au divorce à l’amiable, vous évitez de longues procédures judiciaires. Les tensions entre les deux parties s’atténuent également. D’autant plus, il implique un gain d’énergie et de temps considérable. Vous pouvez en effet boucler cette procédure en seulement un mois, sachant que les divorces conflictuels peuvent perdurer entre un à quatre ans.
Aussi appelé divorce par consentement mutuel sans juge, le divorce à l’amiable s’avère moins onéreux. Cela peut s’interpréter par le fait que vous n’avez pas besoin de passer devant un tribunal. Les deux parties économisent ainsi les frais relatifs aux éventuelles prolongations et aux procédures judiciaires. De plus, plusieurs cabinets d’avocats suggèrent aujourd’hui des offres pour un divorce rapide et pas cher, à l’image de ce que propose le site divorce.tedgui-avocat.com.
Comment alléger les coûts d’un divorce ?
D’une manière générale, les honoraires d’avocat occasionnent les frais les plus élevés lors d’un divorce. Ceci dit, pour profiter d’un divorce pas cher, il convient de réduire le montant des honoraires à octroyer en engageant un avocat commun par exemple. Il est aussi astucieux de solliciter l’aide juridictionnelle, car dans certains cas, cette dernière prend en charge tout frais juridique entraîné par la procédure (frais du notaire, honoraires des avocats, etc.).
D’autre part, il est également possible de faire quelques économies en optant pour un avocat en ligne. À cet effet, l’unique obligation se caractérise par la présence physique de votre avocat lors de l’audience. Enfin, étant donné qu’une procédure moins complexe allège notablement la note à payer, il est de votre intérêt de trouver un terrain d’entente à propos des conséquences du divorce.
Comment raccourcir les délais d’un divorce ?
Qu’importe la procédure choisie, il est impératif de respecter des délais irréductibles. Pour illustrer, les divorces conflictuels engagent les deux époux sur plusieurs mois, voire de nombreuses années. Quelques paramètres vous permettent néanmoins de gagner du temps. Entre autres, lors des situations patrimoniales simples, la répartition des biens peut provoquer un désaccord et risque d’allonger la procédure.
En vue d’obtenir un divorce rapide, vous pouvez également simplifier la procédure en rédigeant l’assignation en divorce au plus vite. Les procédures conflictuelles se démarquent par leurs étapes interminables. Suite à l’audience de non-conciliation, le premier cap a été franchi, mais les conjoints doivent ensuite s’assigner en divorce sous trente mois. Puisque rien ne pourra se prononcer sans cette procédure, mieux vaut envoyer l’assignation aussi vite que possible.
Toujours concernant le divorce à l’amiable, il est tout à fait possible d’économiser du temps grâce à deux procédures : celle contractuelle et celle judiciaire. Essayez également de tomber d’accord à propos de la garde des enfants. En effet, cela ne requiert pas la tenue de l’audience. À noter qu’un cas exceptionnel exige l’intervention du juge : si les enfants demandent à parler, à être entendus. Si un tel cas se présente, le juge compétent doit faire en sorte que la convention ne s’oppose point à l’intérêt des enfants. Dans le cas contraire, il peut déclencher une deuxième audience, ce qui rallongera les délais.